Bunia

Un aéronef appartenant à la compagnie TRACEP en provenance de Bunia, Chef-lieu de la province de l'Ituri, a connu un crash à l'aérodrome de Zale, à Mahagi, vers 9h de ce vendredi 5 avril 2024. Le pilote de cet appareil aurait effectué une manœuvre pour éviter une personne qui traversait la piste à pied, chose qui l'a déséquilibré. Et du coup, cet aéronef s'est retrouvé dans un ravin, rapporte le coordonnateur du service de la protection civile en Ituri. Il dresse un bilan de 4 passagers blessés. Toutefois, il n'y a pas eu perte en vies humaines.

Les personnes qui ont fui les atrocités dues à l'insécurité entretenues par les groupes armés en territoire de Djugu (Ituri), hébergées au site du Lycée Kigonze, au nord de la ville de Bunia, évoquent un manque de prise en charge médicale. Elles disent vivre sans aucune assistance humanitaire depuis plus d'une année.  D'après le président de ce site, contacté par 7SUR7.CD, près de 14.000 déplacés de guerre n'ont pas accès aux soins de qualité faute de moyens financiers. 

Les travaux de construction, par certains particuliers, dans les cimetières de Kindia et celui du centre-ville de Bunia (Ituri), près de l'état-major de la Police nationale congolaise (PNC) sont suspendus dès le 1er avril 2024. Il s'agit d'une décision du maire de Bunia. Le Commissaire supérieur Mbuikola Bosco, maire de Bunia, a, dans un arrêté, rappelé que des travaux pareils ne peuvent s'y faire qu'après 50 ans à dater de la dernière personne enterrée dans un cimetière. D'où il a insisté sur le respect aux morts.

Le banditisme urbain prend une allure inquiétante en ville de Bunia, Chef-lieu de la province de l'Ituri. Le dernier cas en date est celui de la nuit du lundi au mardi 02 avril 2024, se soldant par la mort de deux bandits lors d'une justice populaire.  Selon la Police nationale congolaise (PNC) commissariat urbain de Bunia, les faits ont vécu plus précisément au quartier Bigo-Kolomani, au nord de la ville de Bunia. Ces bandits ont été exécutés par la foule lorsqu'ils menaçaient de cambrioler dans plusieurs maisons. 

Trois (3) élèves sont morts dans une école primaire de la ville de Bunia, l'avant-midi de ce samedi 28 janvier 2024.  A la base de cette tragédie, un réservoir d'eau installé au niveau de cet établissement scolaire s'est écroulé pendant la récréation causant la mort de 3 élèves sur place, rapporte le service de la protection civile de l'Ituri. Un autre élève a été grièvement blessé puis conduit dans une structure sanitaire pour des soins, précise la même source.

Le centre de vote implanté au niveau de l'école primaire de l'Institut supérieur pédagogique de Bunia (ISP/Bunia), au quartier Mudzi-Pela dans la commune Shari, en ville de Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri, été saccagé par des déplacés en colère suite à leur "exclusion" au vote, le matin de ce mercredi 20 décembre 2023, jour prévu pour les élections générales en République démocratique du Congo.

Un couple a été tué à coups de machette par des inconnus en ville de Bunia, Chef-lieu de la province de l'Ituri, dans le  Nord-est de la République démocratique du Congo. Les corps de ces deux personnes ont été retrouvés dans leur maison sur l'avenue Samaria au quartier Bakongolo, le mercredi 23 août 2023. Selon le chef de ladite avenue, ces deux personnes auraient été tuées le lundi soir lorsque leur disparition a été constatée.

Un camion anti-incendie d'une capacité de 15.000 litres acheté sous l'initiative des pétroliers de la ville de Bunia, a été présenté au gouverneur militaire de l'Ituri, puis remis au maire de la ville précitée, le mardi 25 juillet 2023. Ceci, au cours d'une cérémonie au gouvernorat. D'après le président de l'association des pétroliers, ce véhicule a été acheté à 105.000 dollars américains grâce à la contribution notamment de la FEC (Fédération des Entreprises du Congo)

Deux professeurs d'université ressortissants d'une communauté vivant en territoire d'Irumu sont aux arrêts mais pour l'instant, en garde à vue à l'auditorat militaire de garnison de l'Ituri à Bunia depuis le mercredi 05 janvier 2022. Il s'agit du professeur Bungishabaku Katho et Ndudanga Kavarios soupçonnés d'être des complices de la milice dénommée Front Patriotique et Intégrationniste du Congo (FPIC) opérant en territoire d'Irumu.