Culture

Trois blessés et d’autres biens perdus, c’est le bilan enregistré d’une bagarre avant-hier le lundi 20 octobre, sur l’avenue de la Presse dans la commune de la Gombe, entre les vendeurs ambulants, les enfants de la rue dits «Shegues» et des agents de l’ordre. La pomme de discorde entre les 3 parties, est la somme de 100 dollars américains remis par l’artiste musicien, Werrason comme geste de générosité auprès de la foule qui l’ovationnait.

Le chanteur Koffi Olomide a été interpellé puis entendu mardi 21 octobre pendant plusieurs heures au commissariat provincial de la police à Kinshasa. Intervenant sur des médias locaux, le commissaire provincial de la police, le général Kanyama, avait notamment reproché au musicien le fait de se faire appeler «Vieux Ebola» et d’avoir affiché ce surnom sur les banderoles annonçant une prochaine production, alors que cette maladie créé la désolation en RDC et dans le monde.

Il y a vingt-cinq ans, l’un des piliers de la musique congolaise moderne tirait sa révérence au royaume de Belgique où il s’était retiré pour des soins appropriés à sa longue maladie. Un quart de siècle après cette disparition, que reste-t-il encore de cette icône de la chanson dans la mémoire collective ?

Aujourd’hui Vendredi 10 Octobre à 19 h 00, à l’Institut français de Kinshasa, Halle de la Gombe, le public peut découvrir le spectacle » Rencontre au pluriel « , de Toto Kisaku.

Après deux éditions à succès en 2012 et 2013, le Festival International d’Humour de Kinshasa «Toseka» n’entend pas retirer son épée du fourreau. Les organisateurs de cet événement culturel d’envergure continentale projettent la troisième édition l’an prochain. Le rendez-vous est donc pris du 25 au 30 août de l’année prochaine. Comme à l’accoutumée, cette activité culturelle va être domiciliée au Théâtre de Verdure dans la commune de Ngaliema.

Après la mort du chanteur rd-congolais Babia Ndonga dit Chokoro mardi 7 octobre dernier à Luanda, en Angola, les chroniqueurs musicaux de Kinshasa avec à leur tête Paulin Mukendi se sont réunis hier jeudi 9 octobre à Kinshasa.

Le Conseil supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) interpellé Excédés par la bassesse de la plupart des animateurs de ces intermèdes de divertissement, de nombreux téléspectateurs interpellent le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la Communication (CSAC).

Utiliser la culture comme outil d’échanges et de rapprochement des peuples, tel est le cheval de bataille du Réseau " Na Lisanga ", regroupant les personnes qui partagent le même objectif, celui de promouvoir la culture congolaise.